Les toiles de Michel Campistron, où s’opposent systématiquement la fluidité et la matière avec une certaine rudesse, ainsi que l’atmosphère ténébreuse qui s’en dégage, l’autorisent à revendiquer une appartenance à l’École Catalane et Espagnole des Tapies, Millares, Saura ou Valdes.

 

Sa recherche se tourne vers les transformations des choses et des êtres face à l’épreuve du temps et des blessures.

L'inspiration de ses œuvres actuelles extraient l'artiste des mythes anciens et des recoins cachés de l'âme humaine. 

Elle ressent un lien profond avec la nature et crée un dialogue pittoresque entre la nature et la psyché.

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Pour Banu Grote, l'art a une fonction, c'est un instrument pour les gens et un langage avec lequel les artistes et les spectateurs peuvent échanger des idées sur les âmes. 

C'est pourquoi l'artiste utilise des thèmes et des matériaux tels que les feuilles, l'écorce d'arbre, le sable, la terre, le tissu ou la poussière, associés à la nature. 

L'univers artistique de l'artiste Slovaque Monika Sabo est pour le moins étonnant ou extraordinaire.

Onirique ou particulièrement réaliste, il rassemble, individualité, foule humaine,...

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Il s'agit là de Regards Singuliers-Pluriels qui expriment autant, douleur, amour, passion que émotion, tristesse et...joie.

Oeuvres originales aux visages crucifiants, les propos exprimés de Monika Sabo nous envahissent et nous entraînent.

Influencé par l'expressionnisme, il fait le choix de fabriquer puis démonter physiquement ses oeuvres.

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C'est alors la matière picturale même qui devient l'objet de l'expérience esthétique. Il superpose tout d'abord avec obstination des dizaines de couches de peinture, inlassablement répétées. Vient ensuite l'étape de la déconstruction. D'un geste sûr, il gratte, ponce, meule, arrache la matière, comme si le fond qui se trouvait caché devait réapparaître à la surface, non dans sa totalité mais par traces. 

Artiste autodidacte, Virginie Michel a étudié le modèle vivant à la grande chaumière à Paris, son thème de prédilection est la figure humaine, elle utilise des techniques mixtes à base de collages.

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"La peinture s'est imposée à moi comme une nécessité, presque une thérapie; Le point de départ est souvent une image insignifiante découpée,dans un magazine… la mémoire des visages apparaît comme une recherche généalogique, au fond pour simplement poser la question suivante : qui suis je, qui sommes nous ?".

M. et Mme Gorgô fusionnent mythes et symboles dans un surréalisme expressif où chaque ligne et couleur deviennent une invitation au rêve et à l’introspection.

 

Mr et Mme Gorgô, Bénédicte Devillers et Michel Gouteux, peignent.

Chaque chose, chaque signe, chaque mythe, deviennent leurs prétextes; ceux-ci sont aussitôt suggérés ou convertis en lignes, couleurs, expressions, en un « surréalisme" expressif.